Il semble que la carrière de Daniel Bryan en tant que SuperStar du ring, pourrait être sur le point de se terminer. C’est dans cette direction que l’ancien champion de la WWE semble se diriger à en croire ses dires.

C’est dans une entrevue pour le podcast des Bella Twins que Daniel Bryan a révélé que la compagnie de Vince McMahon lui offrira un congé de paternité de six semaines lorsque sa femme, Brie Bella, donnera naissance à leur deuxième enfant. Peu de temps après son repos, son contrat se terminera alors. Il n’est cependant pas question de partir de la WWE, mais plutôt de signer un contrat différent, qui fera de lui un part-timer.

La WWE pourrait également prolongé son contrat de six semaine comme dans le cas d’une blessure mais comme ils sont en bon terme et qu’il semble vouloir rester, il ne devrait pas y avoir de problème entre les deux partis.

<< La WWE est géniale, elle va me donner six semaines de congé de paternité. Je pourrai être à la maison pendant les six premières semaines, mais il restera peu de temps avant que mon contrat ne se termine. Je pense que j’arrêterai d’être catcheur à plein-temps. J’aimerai toujours le catch, je catcherai toujours, mais quand je dis « catcher toujours », ça veut dire une fois par mois, voire une fois tous les deux mois. >>

Daniel Bryan n’est donc pas près de s’arrêter, mais sa carrière de lutteur à plein-temps devrait bientôt s’arrêter pour aller sur le ring de moins en souvent. Il veut d’ailleurs monter sur le ring jusqu’à ses 70 ans ! Son contract actuel se terminerait en septembre 2020.

Pour ceux qui pense que lutter jusqu’à 70 ans est quelque chose d’énorme, sachez qu’une fois sortie de la WWE, les légende de la WWE lutte tant qu’un promoteur indépendant est prêt à débourser pour les faire venir. C’est comme ça que notre patron Dark Cash a manager Abdulah The Butcher à ses 73 ans quand la GNW l’a fait venir pour la dernière fois ainsi que le WWE Hall of Famer Tony Atlas agé de 70 ans. Il est toujours intéressant de voir ses monument pour une dernière fois en sachant très bien que le « match » sera qu’une sorte de salutation à la foule rendu là.