La star d’IMPACT Wrestling et ancien champion du monde Eric Young était un invité récent du Two Man Power Trip of Wrestling pour parler de son retour à la promotion lors de Slammiversary après sa libération par la WWE en avril dernier. L’ancien leader de Sanity dissèque également le nombre de personnages différents qu’il a incarnés dans le monde de la lutte au fil des ans. Les faits saillants de l’entrevue :

Comment il a été très intelligent avec son argent et n’a pas besoin de travailler, mais il est heureux d’être de retour avec IMPACT:

«Les gens qui étaient là avant nous devraient être si fiers et je les remercie pour ce genre d’effort pour faire des choses difficiles et placer Impact en mesure d’embaucher des gens comme moi, Gallows et Anderson. Je ne parlerai pas pour ces gars-là. Je ne peux parler que pour moi, mais je n’ai pas besoin de travailler. J’ai été très intelligent. J’ai été une personne très intelligente avec mon argent. Je vis très humblement. Je n’ai pas besoin d’être à l’Impact. J’ai choisi d’être là. C’est là que je veux être. C’est une chose puissante».

Sur les nombreux personnages différents qu’il a joué au cours de sa carrière:

Je pense que ça commence avec mon amour pour la lutte professionnel. Je pense que cela vient de la variété. Je n’aime pas un seul type de lutteur. J’aime toutes les sortes. En ce qui concerne la polyvalence, j’aime les défis. Qui n’aime pas prouver que quelqu’un a tort? Je me souviens d’une conversation que j’ai eue avec Mick Foley à TNA Wrestling lorsque j’ai tourné les talons du côté des méchants pour la première fois. Il a dit avoir vu que j’avais tourné « Heel » mais il ne croyait pas que je pouvais le faire. Il a dit que dans le fond de son esprit, les gens n’allaient pas l’acheter. Il pensait qu’ils penseraient (les fans) que je suis un gars si gentil, un babyface si fort et un personnage sympathique. Puis il l’a regardé et m’a regardé lutter contre Bobby Roode et il a dit que j’étais devenu une personne différente. C’était amusant. C’est ce qui me pousse à la lutte. Être un personnage différent et être des versions différentes de moi-même et des gens se demandaient si je n’aimais pas faire la comédie.

Pour être honnête, je n’avais jamais fait de comédie dans la lutte professionnelle avant TNA. J’étais juste un lutteur qui a travaillé et qui a eu de bons matchs et c’est ce que j’étais! Ils sont venus me voir avec cette opportunité. Dutch Mantell a inventé ce personnage sauvage. Je l’ai pris et j’ai couru avec. J’en ai tiré ma propre émission de télévision. J’ai rencontré Oprah. J’ai traîné avec Morgan Freeman. Tout ce truc cool est arrivé parce que c’était un acte de comédie sur la lutte TNA.

Je crois aussi à long terme qu’une chose que cela a fait pour moi, c’est que je n’ai pas beaucoup lutté à ce moment-là, ce qui était bon et mauvais. J’ai raté la lutte, mais la vérité est que j’ai 40 ans maintenant mais que j’avais 10 ans de congé. J’ai encore un énorme réservoir d’essence qui est très cool. C’est quelque chose dont je suis fier, ma polyvalence. Je me mettrais là-haut avec l’un des lutteurs les plus polyvalents, sinon le plus.