Celle que vous avez connu comme étant Amber Mooon à la WWE c’est confié à Chris Van Vliet et voici les propos les plus croustillants de cette entrevue.

Je voyais tout ce qu’il se passait à l’AEW et cela avait l’air fun, cela ressemblait à ce que je voulais faire. Pendant longtemps, nous ne pouvions même pas en parler (de l’AEW) en coulisse parce qu’ils nous disaient « Vous ne devriez pas regarder la compétition ». J’étais là « Comment vous voulez qu’on les dépasse alors ? » Je ne regardais pas cela comme un film, je regardais parce que j’étais envieuse ce qu’il se passait là-bas.

De temps en temps j’envoyais des messages à Dustin (Rhodes) et il me répondait toujours « C’est sûr que nous nous amusons bien ici ». Je lui répondais « Je vois que vous avez du fun et comment vas-tu, comment va ta vie ? ». Dustin était l’une de ces personnes, quand j’étais à Raw et Smackdown, qui m’aidaient à trouver mon identité dans ce nouveau roster. Il était le seul qui venait s’asseoir avec moi et me donner des conseils pour mon personnage, à me dire que je devrais faire ça ou ça. Peu importe ce qu’ils disent, c’est Goldust, c’est le personnage ultime. Ce mec a survécu à tout. Il a montré un intérêt à m’aider à faire évoluer mon personnage quand personne d’autres ne le faisait. Je le vois comme un ami, tout comme Leva (Bates).

L’interview d’Atena (ex-Ember Moon) a Chris Van Vliet dévoile d’autres faits intéressants sur la manière dont la WWE gère ses coulisses. La lutteuse renvoyée en novembre dernier a ainsi fait une révélation plutôt contradictoire avec son actualité concernant sa situation salariale de l’époque au sein de la compagnie.

A ce moment j’avais décidé de ne pas prolonger. Plusieurs facteurs faisaient que je savais que mon renvoi allait arriver. Mon contrat se terminer en avril (2022) et à un moment ils m’avaient offert des tonnes d’argent pour que je reste. Cela était un montant qui aurait changé ma vie. Cela représentait probablement 5 fois ce que je gagnais. L’argent ne peut cependant pas acheter le bonheur et je sais que des gens vont dire que je suis stupide d’avoir fait cela. J’étais cependant tellement malheureuse (…) cela était devenu comme le job alimentaire que je faisais avant que je ne sois à l’époque signé (…) En aout ou septembre, ils essaient encore de me faire tester. Je me souviens leur avoir dit « Ecoutez, j’adorerais rester et prendre cet argent mais vous ne m’avez donné aucune raison de rester ». Cela était un point de dispute avec eux. Je veux rester mais je veux que vous me fassiez rester.