Dwayne « The Rock » Johnson a demandé à Vince McMahon de lui payer deux fois plus que la star de la WWE « Stone Cold » Steve Austin lors de sa première renégociation de contrat avec la société il y a bien longtemps.

Lors de son apparition sur le podcast PBD, la légende de la WWE a parlé de cela et de bien plus encore.

Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des moments forts de l’interview.

Sur sa première négociation de contrat avec Vince McMahon :

« La relation entre Vince et moi était une excellente relation car elle était basée sur ma volonté de travailler pour chaque dollar. Notre relation était axée sur le travail, la volonté de s’investir, et j’ai un respect énorme et sans limite pour le monde du catch professionnel qui est si profondément important pour lui. C’est sa vie. C’est son monde. C’est son sang. J’ai grandi dans le monde du catch professionnel. Mon grand-père a lutté pour le père de Vince dans les années 70. Mon père a lutté pour Vince dans les années 80. J’ai commencé à le faire avec énormément de respect et de révérence. Je suis prêt à travailler dur, à me mettre au travail. J’ai partagé cela avec Vince quand je suis devenu The Rock et que les choses ont commencé à décoller pour moi. Il m’a dit : « Quelle est la prochaine étape ? »

J’ai dit : « Je pense que la prochaine étape consiste à prendre cet anneau en laiton et à l’emmener à des endroits où il n’est jamais allé. » Il a dit : « Où est-ce ? » « Je ne sais pas. Trouvons-le ensemble. »

Sur le montant qu’il gagnait avec son premier contrat :

« J’étais en train de négotier mon tout premier contrat avec la WWE avec Vince était un contrat de cinq ans pour 150 000 $ par an. Gardez à l’esprit que non seulement les impôts, mais dans le monde du catch professionnel, je devais tout payer. L’hôtel, la nourriture, le transport. 150 000 $ par an, c’est génial quand vous faites 250 dates de catch par an, faites le calcul avec ce que vous gagnez par match. C’était comme ça. C’était une opportunité pour moi. Je suis parti de sept dollars. C’est génial. »

En demandant à Vince de lui payer le double de ce qu’il avait payé à « Stone Cold » Steve Austin :

« Il est temps de renégocier. Environ trois ans plus tard, lorsque je suis devenu The Rock, il a voulu renégocier mon contrat deux ou trois ans plus tard. À l’époque, quelques lutteurs avaient leurs propres agents. J’ai choisi de ne pas avoir d’agent. Il m’a dit : « Vas-tu avoir un agent ? Tu en cherches un ? »

« Je n’en cherche pas. J’aimerais négocier directement avec toi. Nous nous sommes rencontrés par une poignée de main, et je crois que nous allons le faire par une poignée de main. » Les poignées de main sont très importantes pour moi. Je dis toujours que ma poignée de main est meilleure que tout ce que je signe. Il a dit : « Super. J’adore ça. Je respecte ça. Qu’est-ce que tu penses ? »

J’ai dit : « Qui est le mieux payé, si ça ne te dérange pas que je te le demande. » « Entre nous, qui est le mieux payé de l’effectif ? » Il a dit, « Stone Cold Steve Austin. » « Quelle est sa garantie ? » « Un million de dollars. » « J’en veux deux. » « Deux millions ? » « Oui. » « Garanti ? » « Oui. » Il a dit, « Je suis juste curieux, d’où sors-tu ça ? Qu’est-ce que tu penses ? » « J’aime Steve, je le respecte. S’il reçoit un million de dollars. Là où je me vois aller, c’est au-delà d’un million de dollars. Je pense que ce devrait être deux. »

Vince a dit, « Je comprends cette logique. Voici ce que je veux que tu fasses. Je vais te mettre en contact avec l’un de nos dirigeants. J’ai besoin que tu prennes quelques mois pour comprendre l’entreprise. J’ai besoin que tu comprennes ce côté de l’entreprise de haut en bas. Toute l’économie. Comprendre nos coûts, nos frais généraux, regarder ce qui est alloué. Prendre le temps et faire le travail auquel tu dis que tu t’engages, sur le ring, je respecte ça. » Maintenant, je veux que tu apprennes le métier. Une fois que tu auras appris ce métier, reviens me voir et nous en parlerons. » (J’ai appris) quels étaient les frais généraux, quels étaient les coûts du lieu, quelle était la taxe d’État, l’allocation pour les lutteurs, le pourcentage de la billetterie. Je n’ai pas mis trois mois. C’était peut-être deux semaines. C’était un baptême du feu, et j’ai appris à absorber autant que possible sur le métier. Je suis retourné voir Vince, je l’ai remercié et je l’ai serré dans mes bras. Je lui ai dit : « Je comprends maintenant. J’aimerais égaler le million de dollars que Steve reçoit. Merci de m’avoir expliqué cela. » Nous avons eu une excellente conversation et il m’a dit : « Combien penses-tu gagner cette année ? » « Ma garantie est d’un million. J’ai gagné en moyenne environ 50 % de plus que ma garantie. Alors, peut-être 1,5 ? » Il m’a dit : « Maintenant que tu as fait le tour de la question et que tu as compris le business, tu vas gagner 15 millions de dollars. » Il a fait le calcul et a pu voir où ça allait. « Tu vas gagner 15 millions de dollars. » En 1999-2000, le catch a connu une période de boom. »

Découvrez l’interview complète via le lecteur YouTube intégré ci-dessous: